mercredi 21 septembre 2016

[Monde & Vie] Pourquoi et pour qui faut-il voter?

Repris de monde-vie.com
Aujourd’hui le vote de conviction est le premier vote utile. C’est dans cette perspective que nous disons : il faut voter à la Primaire de droite.
          
La Primaire de droite est une première. Elle donne occasion à de nombreux candidats de se manifester tels qu’en eux-mêmes, avant que les sacro-saints parrainages politiques ne soient comptabilisés et les candidats qui ne font pas le poids, impitoyablement rejetés dans les ténèbres extérieures. Ainsi Jacques Myard – député de Maisons Laffitte se déclare-t-il fort heureux de sa campagne inutile, mais qui aura contribué à droitiser toujours plus le débat politique actuel. Car c’est de cela d’abord qu’il s’agit : il faut une parole libre. On en a assez des candidats du système, ces candidats dont Jacques Chirac, en 2002, fut l’archétype, élu à 82 % des suffrages sur un programme vide. Pour son discours d’intronisation, le grand Jacques évoqua (ce n’est pas une blague) la lutte contre le cancer et le code de la route. Temps perdu ! À l’époque, les idées ne pouvaient plus circuler, absorbées dès leur naissance par la correctness, sorte de glue universelle, qui exige l’universelle confusion des idées… En 2007, il y eut la présidence Sarkozy. Sur le personnage et son mandat d’hyperprésident, je serais un peu de l’avis de Fillon : ce Président-là aussi a eu peur de FAIRE, mais… et ce n’est pas rien dans notre théâtrocratie au suffrage universel, il n’a pas eu peur de DIRE certaines vérités emprisonnées depuis longtemps sous la glue universelle. Il a libéré la parole en parlant d’identité nationale, il a permis à des gens comme Zemmour ou Finkielkraut de sortir du bois. Je pense que c’est le premier rôle de la Primaire de droite d’agiter des idées nouvelles, de dire ce qui ne va pas, de proposer des remèdes auxquels apparemment personne n’avait pensé auparavant. La Primaire de droite est un merveilleux banc d’essais des idées de droite. À ce propos je donnerais volontiers la palme à un perdant : Frédéric Lefebvre, le premier dans la classe politique à défendre l’idée d’un salaire universel. Je vois deux avantages à cette mesure : elle permet de responsabiliser ceux auxquels, en lieu et place d’allocations diverses on donne un véritable petit salaire, hommes et femmes, employés ou chômeurs. Ce salaire universel serait aussi l’occasion d’une révision générale du sacro-saint système social français, qui remonte substantiellement à la Deuxième Guerre mondiale. Il serait peut-être temps de proposer VRAIMENT autre chose. Eh bien ! La Primaire aura été l’occasion d’introduire le salaire universel comme un thème social de droite !
Sans hésiter 
Je parle d’idées, je ne parle pas de valeurs : hélas, les catholiques n’ont pas utilisé cette occasion pour réaffirmer le caractère fondamental des valeurs chrétiennes dans l’identité française. Les uns veulent jouer les arbitres, les autres votent pour François Fillon, l’homme qui dit que l’avortement est un droit des femmes… Mais où est le porte-drapeau ?La vérité oblige à dire que, malgré les hésitations coupables des états-majors cathos, de porte-drapeau il y en a un. Il n’est pas là seulement pour faire de la figuration. Il n’est pas non plus mono-discours, obsédé par les valeurs morales et ne sachant parler que de cela… Il a acquis une expérience politique à la Commission des lois de l’Assemblée nationale. Il a voyagé et sait d’instinct que la France ne se réduit pas à un hexagone. Il a la culture chrétienne de la concertation, sans le goût du martyre, qui est toujours malsain, mais alors surtout malsain en politique. Il croit dans le rôle stabilisateur d’un État régalien et ne donne pas dans le culte des Institutions européennes et internationales. Il ne voit pas l’islam en rose mais réclame un véritable contractualisme entre l’islam et la République. Il est un adversaire décidé du laïcisme et un adepte de la pure laïcité, qui suppose de reconnaître le christianisme au centre de la culture française. Bref, c’est un vrai candidat. Il n’est pas membre des Républicains mais président du Parti Chrétien Démocrate. Il s’agit, vous l’aurez deviné, de Jean-Frédéric Poisson, député des Yvelines, valeureux combattant contre le mariage pour tous, mais aussi contre la très inefficace loi Macron et contre la non moins dangereuse Loi El Khomry.Il est clair que voter Poisson au premier Tour de la Primaire (il vous en coûtera deux euros) c’est faire avancer le vote catholique en France, le vote de civilisation en Europe et tout ce que nous défendons à Monde&Vie.
          
Cela n’empêche pas de voter autrement à l’élection présidentielle. Mais il faut utiliser la Primaire, qui est une fantastique caisse médiatique de résonnance. Et pour une fois, nous pouvons faire un vote de conviction. C’est tellement rare qu’il me semble que quand cela devient possible (même s’il ne s’agit que de Primaires) c’est un devoir. Il n’y a aucun devoir à voter lorsque le choix qui nous est donné est celui de la peste ou du choléra. Mais lorsque les règles de la santé politique sont senties avec tant de mesure, lorsque la société chrétienne est défendue avec tant de talent… Alors oui : voter, voter Poisson est un devoir ! 

Abbé G. de Tanoüarn

32 commentaires:

  1. Je suis bien d'accord avec vous . Je remarque une chose avant tout c'est que vous nous dites que les primaires à droite sont une première et j'en suis stupéfait! Comment, c'est donc la gauche qui fut la première à s'américaniser? C'est un détail qui n'est pas piqué des hannetons. Et qui me plonge dans une assez grande perplexité.

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  2. En matière d'action, et en particulier d'action politicienne, il n'y a pas de dogme. Ainsi voter n'est pas (sauf rares exceptions) un devoir, surtout si la consultation est organisée par un parti dont les dirigeants ont voté (ou ne veulent pas abroger) les lois scélérates de l'avortement et du mariage contre-nature.
    Il est vrai que depuis le Ralliement de Léon XIII, les orléanistes et leurs successeurs, les démocrates chrétiens, ne sauraient se passer du sacrement républicain, et se précipitent sur tous les urnoirs qu'on leur propose, même s'il faut payer pour ça...
    Personnellement, le jour du scrutin, je reste chez moi "pendant que des mortels la multitude vile, sous le fouet du Régime, ce bourreau sans merci, va cueillir des remords dans la fête servile"... préférant verser mes 2 euros à une cause plus catholique !

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  3. Pour voter, il faut donner 2 euros à LR et s'engager sur l’honneur en signant la phrase suivante : « Je partage les valeurs républicaines de la droite et du centre et je m’engage pour l’alternance afin de réussir le redressement de la France. ».

    La phrase à signer n'a aucun sens, enfin plutôt on peut lui donner le sens qu'on veut. Mais les 2 euros multipliés par le nb de votants vont servir à quoi ? La morale peut elle accepter qu'on donne de l'argent à LR ?

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  4. Le petit catho français étant indécrottablement très intelligent, il rétorquera: "Mais Poisson n'a aucune chance, inutile de voter pour lui".

    Et là il n'y a rien à faire. Si, le gifler à tour de bras, mais il ne comprendra toujours pas.

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  5. Des propos sur un ex président malade et sans doute au seuil de la mort est une chose.
    dire des consignes de vote pour le néant personnifié en est une autre. Le seul risque est de vous noyer dans l'oubli comme un poisson dans l'eau. La victoire sur terre ? De qui ? Pas du Christ,qui ne voulait pas avoir à régler nos "disputes" Et c'est à prendre dans un sens large....puissiez vous voir clair enfin.

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  6. La démonstration est rigoureuse. La conviction est entière. L'habileté est jésuitique. L'enjeu est d'importance.
    Naturellement il y a quelques scories. Citer Myard qui obtint un prix en 2015 pour sa mauvaise éducation. Ou Lefebvre, un politicien strictement conforme, son désopilant salaire universel et son voyage chez les macronides. Evoquer la libération de la parole sous Sarkozy. Plomber Fillon, celui de la bande qui le mérite le moins.

    Notre abbé, prêtre de grande qualité et que nous aimons, nous incite donc à participer à la primaire et va jusqu'à nous désigner la bonne carte. Comme dans l'Italie d'après guerre où le curé, en chaire, rappelait à ses ouailles, les dimanches d'élection, qu'elles étaient démocrates et néanmoins chrétiennes.
    Mais qu'en est-il de l'obligation à contracter au préalable ?

    Pour le centre, aucune difficulté. Ses valeurs sont celles des autres, de tous les autres. Mais pour la droite, quelles sont-elles ? L'abbé avoue lui-même, par précaution oratoire, qu'il " ne parle pas de valeurs " mais d'idées.

    On peut commencer par fouiller dans les poubelles de l'histoire.
    Nulle surprise de rencontrer l'antisémitisme. Quoi de plus déshonorant que de s'acharner sur un peuple dont le fardeau est déjà si lourd ?
    Ni l'aristocratisme alors que l'on a maintes fois vérifié que le processus spermatique était mieux adapté à la transmission des tares qu'à celle des qualités.
    Ni la coterie chevalière, utile pour conquérir le Graal mais qui ne sert plus guère que dans les concours hippiques.
    Ni le comportement colonial : casser du nègre, faire suer le burnous, s'opposer à la décolonisation jusqu'à amener la nation au bord du gouffre et préparer son effondrement pour les 50 ans à venir.
    Ni l'étroitesse des visions culturelles où l'on préfèrera toujours Albéric Magnard à Debussy, Bouguereau à Monet et les Bazin à Céline.
    Autant de racontars de trotskos reposant sur des brimborions de vérité. Mieux vaut donc examiner les prestations les plus récentes de la " droite de gouvernement ".

    Depuis 1974, début du cinquantenaire de tous les dangers, l'on vit à la manœuvre le trio Giscard-Chirac-Sarko. Les historiens débattront longtemps pour déterminer lequel des trois aura été le plus néfaste.
    Ces trois gaillards, qui mourront probablement dans leur lit, entourés de l'affection des leurs, ont eu un comportement comme chef d'état qui aurait valu à un père de famille d'aller croupir en prison pour longtemps. Ne serait-ce que par l'habilité qu'ils ont déployée pour faire de la dette et pour laisser ouverte la porte du domicile. De quoi anéantir la famille la plus équilibrée.
    Des chefs d'état, on rigole. Des pères de famille, on hurle.
    Et pour parachever leurs méfaits ils nous livrèrent élégamment à la gauche au terme de leur nuisance (deux après leur mandat présidentiel, le troisième après la désastreuse aventure 86-88). Les facéties de la paire Mitran-Sandan leur sont donc partiellement imputables.

    Les esprits fins objecteront que ces gens-là n'étaient pas orthodoxes, qu'ils étaient des déviants, voire des traîtres et qu'en aucune façon ils incarnaient l'idéal droitier, qui est tout autre. Ce à quoi nous rétorquons que depuis 50 ans ce sont eux que " le peuple de droite agrippé à ses valeurs " a porté et maintenu au pouvoir pour la plus grande gloire de Dieu. Force est de reconnaître qu'ils en sont les authentiques représentants.

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  7. En vérité cela nous affecte peu. Nous avons nos propres valeurs, lesquelles tiennent dans un mouchoir de poche : nous sommes chrétiens (*) et nous sommes nationalistes.
    Paradoxalement cela nous suffit à nous positionner sur la question vitale qui se pose aujourd'hui à nous : parce que nous sommes chrétiens nous aimons les arabes; parce que nous sommes nationalistes nous aimons les arabes chez eux.
    Et il en est de même pour la plupart des problèmes du champ politique tant il y a dans nos deux "valeurs" de l'intelligence et de l'amour.
    Science et conscience vont pour nous de pair. La créature, dans toutes ses démarches, est en recherche constante de son créateur. Y compris dans les affaires de la cité. René Girard, qui approcha au plus près ces considérations vient d'être cité dans un discours d'un candidat à la présidentielle. Etonnant non !

    Alors allons-nous voter à la primaire ? Mélanger nos suffrages aux gens de gauche qui vont se déplacer en masse pour désigner le plus con – ce qui ne sera pas facile – et qui se livreront à une action qui les déshonorera définitivement ? La réponse est non. N'en déplaise à notre cher abbé.

    (*) En réalité nous sommes catholiques. Mais en ces temps de grande déshérence les séparations familiales ne sont plus de mise.

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    Réponses

    1. Nous autres métabloguiens, avec notre armature morale contraignante nous sommes pointilleux sur les principes. Mais nous ne sommes pas idiots.
      Nous abstenir à la primaire de droite est une chose. Participer à celle de gauche en est une autre. Rien ne nous empêche en effet de mettre notre bulletin dans leurs urnes le moment venu. Un échange de politesse normal, une réciprocité bien comprise. Seul pourrait nous arrêter le versement de l'obole (S'arranger pour leur refiler un chèque en bois ou un faux billet).

      Parjures à nos idées. Nullement. Si nous avions quelques doutes sur les valeurs de la droite nous n'en n'avons aucun sur celles de la gauche qui sont par nature universelles et que nous partageons comme membres à part entière de l'espèce humaine. En particulier pour la plus essentielle de toutes, l'égalité.

      Aussi nous sommes prêts à apporter notre voix à celui des candidats qui proposera des mesures fortes :

      - supprimer la progressivité de l'impôt pour mieux répartir la charge entre riches et pauvres. Une mesure qui contribuerait à résorber la dette. Ne faire payer que les riches est une absurdité économique, ils sont trop peu nombreux.

      - renforcer l'égalité à l'embauche par une standardisation du CV; sans identité en clair - remplacée par un numéro signalétique – et aucune mention sur les diplômes et les qualifications de l'impétrant.

      - une politique de santé promouvant les comportements à risque : alcoolisme, tabagisme, stupéfiants, rapports sexuels nombreux et variés sans protection avec des partenaires multiples non identifiés, sports violents, afin de réduire les inégalités entre éléments sains et malades.
      En particulier rendre obligatoire une consultation hebdomadaire chez le psychanalyste pour égaliser le niveau de compréhension du citoyen moyen sur son soi, son en-soi et son sur-soi existentiel.

      - une incitation – par une fiscalité généreuse - à s'enlaidir par tous moyens : scarification, tatouage, incrustation d'objets divers, mutilation, brûlure, chirurgie anesthétique, pour réduire autant que faire se peut les différences entre beauté fade et laideur mal assumée.

      Voilà des propositions qui renforceraient à l'évidence la cohésion sociale. Allons voter, camarades, faisons des propositions constructives, collaborons à la construction d'un monde meilleur.

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    2. Tout est rompu. Neuve est la situation. Il faut nous reprendre.
      Marine d'un côté, Fillon de l'autre, tirent d'un même élan. L'une ne veut pas que ses électeurs polluent la primaire. L'autre, au contraire, y invite tous les Français.

      Il est temps de mettre de l'ordre dans cette affaire. La primaire, avec ses deux tours, doit être intégrée dans la constitution et organisée par les pouvoirs publics.
      L'électeur ne disposerait que d'un seul bulletin : celui de son candidat de la liste chère à son cœur. Ce serait du sérieux.
      Reste la désignation des candidats dans chaque faction. On pourrait penser à des pré-primaires organisées par les partis et réservées à leurs adhérents. Ce serait compliqué mais démocratique.

      Pour le sceptique, restera toujours le tirage au sort sur liste d'aptitude.

      Heureusement qu'en 2022 il n'y aura plus à tergiverser. C'est la communauté des croyants qui désignera son chef.

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  8. Quand on est élu par les voix du FN peut-on s'inspirer pour gouverner des thèses du FN ?
    Quand on ne cherche pas à se faire élire par les voix du FN est-il risqué de gouverner en s'inspirant des thèses du FN ?
    Quand on cherche à se faire élire par les voix du FN on risque de mener une politique inspirée des thèses du FN.
    Quand on veut mener une politique inspirée des thèses du FN est-il justifié de se faire élire ?
    Quand on cherche à être élu sans les voix du FN est-il nécessaire de ne pas s'inspirer des thèses du FN ?
    Quand on est élu sans les voix du FN il est justifié de gouverner sans s'inspirer des thèses du FN.
    Quand on gouverne en s'inspirant des thèses du FN on n'a pas nécessairement cherché à être élu par les voix du FN.
    Quand on risque d'être élu par les voix du FN on ne cherchera pas à s'inspirer des thèses du FN.

    Laquelle de ces vérités premières a été prononcée par Juppé ?
    Laquelle est la plus dégueulasse ?
    Les deux réponses ne sont pas nécessairement distinctes.

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  9. Hollande et Sarko ont fait carlingue commune pour se rendre en Israël. On s'est pris à rêver.

    La loi sur le mariage pour tous. Taubira tata.

    Une raffarinade africaine : "La gazelle Juppé échappe au lion Sarkozy". Il devrait écrire des livres pour enfants.

    Sarko : "Ceux qui pensent me décourager se décourageront avant moi". Et toc !

    Gilbert Collard : "Le Pen l'ancien c'est Cambronne". Et Cambronne, c'est quoi déjà ?


    Les deux nombres de l'année seront incontestablement 40 et 60. 4 et 6 pour simplifier.
    4 Hongrois sur 10 refusent l'installation à demeure de migrants dans leur pays. Par voie de conséquence 6 sur 10 ont une autre opinion. Mais laquelle ? On ne sait. Car ces derniers en s'abstenant n'ont pas jugé nécessaire de la faire connaître.
    Bof ! Les grandes plaines de l'Europe centrale sont terre d'invasion depuis la nuit des temps. Et on est, en ces lieux, toujours l'envahisseur de quelqu'un.
    Et puis il faut tenir compte des circonstances. C'est "l'irresponsable Orban, un boutefeu, un dirigeant peu scrupuleux, qui a organisé un referendum cynique et ignoble – par ailleurs d'aucune portée juridique – en libérant la parole raciste et en exprimant le nationalisme nazi le plus authentique, noyant le débat dans une avalanche d'arguments insoutenables". (*)
    Dans ces conditions on ne s'étonne plus du résultat des courses.

    Tirons une conclusion hâtive. Il y aurait deux types d'européens. Les uns, soucieux de l'avenir, se refusant à disparaître dans les décombres de l'histoire, ont conscience du danger. Ils ne se laisseront pas déposséder sans réagir.
    Les autres, apathiques et sans ressort, contemplent les champs de bataille à venir comme des zombies sonnés. Des veaux aurait dit de Gaulle. Ils ne votent plus.
    Avec un reliquat : les individus du troisième type. Ceux qui ont fait savoir par leur vote qu'ils sont favorables à l'envahissement et souhaitent la submersion pleine et entière de leur pays.
    En Europe on ne sait pas encore mais en Hongrie ils sont 0,67 % (1,68 x 40 %).

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  10. C'est Toto qui rentre de l'école et son papa lui demande : qu'est-ce que tu veux faire quand tu seras grand. Et Toto de répondre : je veux être une fille.
    Cette blague, tirée d'un almanach Vermot des pires années, a été racontée par François à un ramassis de journalistes dans l'avion qui le ramenait du Caucase.
    Ce n'est pas la première fois qu'un Pape en vol est farceur. C'est même devenu l'habitude et les scientifiques se demandent si la cause n'en est pas un réglage défectueux du taux d'oxygène dans l'appareil.

    Dès rentré au bercail François fut pris à partie par notre petite ministre de l'Educnat. Le Pape déconne, il raconte n'importe quoi et s'il était un peu sérieux il irait se renseigner dans nos écoles et feuilleter nos manuels. C'est une victime des campagnes réactionnaires qu'en bons démocrates nous laissons prospérer. Heureusement que les syndicats d'instits veillent. Francette Popineau – une Balzacienne comme on en fait plus – s'est étonnée à juste titre de la légèreté du Pape.

    Basta ! Choisir le bon kanoun pour faire cuire le meilleur tajine du haut atlas rifain est une chose. Nous faire croire que notre école se porte bien en est une autre.
    Notre école, nous la connaissons. Nous y avons été, depuis toujours. Comme enseignés, comme enseignants. Nous, nos enfants, nos aïeux. Nous savons comment elle s'est dégradée depuis la guerre. Nous connaissons les dégâts causés par la droite la plus bête du monde. Mais nous avons pris conscience que la gauche a pour objectif de la transformer en une coquille vide. Et qu'elle y arrive cahin-caha.
    Jusqu'à l'éradication complète de cette monstrueuse inégalité du sexe. Cette différence de l'entre-jambe, cette insoutenable horreur inégalitaire. Pour l'humanité un seul objectif : Gender un jour, Gender toujours !

    (*) Patrick Martin-Genier, Professeur à Science-Po et à l'INLCO, Huffington Post, 2 Octobre 2016.

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  11. C'est sur le sandan mort que le macron pullule.

    Le mariage pour tous. Diable ! Laissons-les s'anuser dans le fond des alcôves.

    Des souriceaux naissent sans fécondation. Les scientifiques vont nous débarrasser du sexe. Ouf !

    Ségolène : " L'océan doit être reconnu comme patrimoine commun de l'humanité ". Enfin il y aura une marine suisse.

    " Sciences Po c'est la maison des lumières, la maison du savoir, du débat, de la tolérance ". Il y va un peu fort Copé. Sciences Po, une maison de tolérance ! Pour homo ou pour hétéro ?

    Les nouveau-nés sont plus nombreux à avoir une mère quadragénaire. Dans une génération ils seront plus nombreux à avoir une aïeule octogénaire. Et ainsi de suite.
    C'est Jeanne Calment qui aurait aimé pouponner son petit-fils avant son grand départ.

    Ils voulaient voir Douvres. Et ils virent Calais.
    On ne veut pas à Calais. Ils verront Allex.
    On ne veut pas à Allex. Ils verront Louveciennes.
    On ne veut pas à Louveciennes. Et ils verront Vesoul.
    A Vesoul…Chauffez les gars.

    " Il fallait me faire disparaître ". Le Pen l'Ancien a parfois des fulgurances de la pensée.

    Montebourg, un homme des deux rives.

    Hollande nous a dépensé des centaines de milliards. Mais il va nous économiser quelques milliers d'euros sur sa proche retraite à venir. Le brave homme !

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  12. Charlie Bedeau Dimanche8 octobre 2016 à 09:24

    Le touite le plus célèbre. Celui de Schubert

    Le touite le plus bref. Celui de Cambronne.

    Gallimard va publier les 1.200 lettres d'amour de Mitran à Pingeot. Un voyage dans des lieux privés. Pour les amateurs.

    Les bidassionaux, l'avenir de l'armée française.

    A Lake Providence (Louisiane) les blancs vivent sur la rive nord, les noirs sur la rive sud. Séparés par le lac. C'était bien la peine de faire traverser l'Atlantique à ces malheureux.

    Natchez (Mississippi) est le refuge des LGBT. Il n'y a qu'eux. Ils ne sont pas partageux. Ils ont peur que les US-hétéros viennent leur ravir compagnes-compagnons.

    Trump. Enormément.

    Maroc. Les islamistes devraient être reconduits à la tête du gouvernement. En France, quoi de neuf ?

    Juppé. Mol sur l'Europe. Mou sur l'immigration. Bon commis. Pas de caractère (*). Ancien délinquant. Futur coupable.

    C'est à Rome, mes fils, que je prétends marcher.
    Ce dessein vous surprend; et vous croyez peut-être
    Que le seul désespoir aujourd'hui le fait naître.
    ………………………………………………
    Ne vous figurez point que de cette contrée,
    Par d'éternels remparts Rome soit séparée;
    Je sais tous les chemins par où je dois passer;
    ……………………………………………….
    Ce torrent, s'il m'entraîne, ira tout inonder;
    ………………………………………….….
    Non princes, ce n'est point au bout de l'univers
    Que Rome fait sentir tout le poids de ses fers;
    Et de près inspirant les haines les plus fortes,
    Tes plus grands ennemis, Rome, sont à tes portes.
    ………………………………………………..
    Que dis-je ? En quel état croyez-vous la surprendre ?
    Vide de légions qui la puissent défendre,
    Leurs femmes, leurs enfants, pourront-ils m'arrêter ?
    …………………………………………………….
    Attaquons dans leurs murs ces conquérants si fiers;
    Qu'ils tremblent, à leur tour, pour leurs propres foyers;
    Annibal l'a prédit, croyons-en ce grand homme:
    Jamais on ne vaincra les Romains que dans Rome.
    Noyons-la dans son sang justement répandu;
    Brûlons ce Capitole où j'étais attendu;
    Détruisons ses honneurs, et faisons disparaître
    La honte de cent rois, et la mienne peut-être;
    Et, la flamme à la main, effaçons tous ces noms
    Que Rome y consacrait à d'éternels affronts.

    ???

    (*) Restons poli.

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  13. Les grands hommes de l'histoire sont toujours des bâtisseurs. Monsieur le Président de la République ne pouvait p as finir son mandat (car, contre toute attente, il va le finir) sans une réalisation d'importance.
    Il vient d'annoncer depuis son fief de Corrèze " l'exhumation " de la LGV Paris – Limoges, enterrée sans ménagement par la plupart des corps techniques, des analystes économiques, des partis de la nature et des politiciens responsables (il y en a mais ils ne sont pas forcément au pouvoir). Un tacle pour son ex-commis Carmacron.

    Et c'est d'un cœur léger qu'il inaugurera cette ligne en Mai prochain quand il quittera l'Elysée pour rejoindre Limoges – un nom de prédilection pour une fin de quinquennat – acclamé de gare en gare selon une ancestrale US-coutume (cf. "L'homme qui tua Liberty Valance").

    Dans cette euphorique fin de règne on a malgré tout du mal à oublier tous les projets concernant l'aménagement du territoire restés dans les cartons.
    En particulier l'indispensable LGV Calais-Louveciennes qui permettrait de désengorger tout le Calaisis où la situation est pathétique. Cette liaison moderne serait grandement utile pour répartir sur une aire plus vaste des populations nombreuses et variées qui ne demandent qu'à voyager.
    Au demeurant une nouvelle ligne dont le coût ne serait pas excessif : un relief facile, aucune gare intermédiaire et une voie unique – le trafic se faisant dans le seul sens Calais-Louveciennes – divisant par 2 le montant de l'investissement.

    Une autre réalisation, modeste mais nécessaire, serait la bretelle Valence TGV-Allex pour relier sans rupture de charge la région parisienne – dont on n'ignore pas les difficultés – à cette charmante bourgade de la Drôme, aux portes de la Provence où il fait si bon vivre. Un projet fortement appuyé par Mariton, député-maire de Crest, l'homme fort de l'endroit.

    Mais les infrastructures ferroviaires ne sont pas les seules en attente. Chacun sait la nécessité de création de 2 méga aéroports internationaux pour fluidifier les échanges avec l'étranger. L'un à Calais, l'autre en Alsace.
    Le premier permettrait l'abandon définitif de Notre-Dame-des-Landes - projet fort décrié qui laissa le Président sans voix à plusieurs reprises, en délicatesse sur ce sujet avec son grand mentor Ayrault – lequel, couplé avec Calais-Louveciennes, acheminerait jusqu'au cœur de la France les populations du monde entier.
    Le second serait plus spécialement destiné au transit vers la Suisse, l'Italie du Nord et naturellement l'Allemagne où la demande est forte. La chancelière, Fräulein Merkel, estimant à juste titre le peuple allemand inapte aux tâches pacifiques, a grand besoin de main-d'œuvre. Une sorte de service de travail obligatoire.

    Ndlr. Dans notre dernière livraison de Dimanche nous avons publié un texte en omettant de donner le nom de son auteur, laissant ainsi penser qu'il avait été rédigé par nous.
    Nous présentons à nos lecteurs nos excuses embarrassées et sommes mortifiés à l'idée que l'auteur véritable du texte ait eu vent de cet impair.
    Pour nous faire pardonner nous avons décidé de transformer cette bévue bien involontaire en un jeu culturel. Le premier qui nous communiquera l'identité de l'écrivain se verra offrir un abonnement d'une année à M&V.
    La récompense sera doublée si l'heureux gagnant peut témoigner qu'il a fait toute sa scolarité sous le régime Haby.
    Pour aider la recherche nous précisons que la Rome dont il est question dans le texte n'est pas la Rome Chrétienne mais celle d'Astérix.

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  14. Touites et ritouites nous font marée.

    Bruno de Vesoul : " Le mieux est de n'avoir ni passé ni avenir judiciaire". Ça viendra mon gars ! N'aie crainte.

    Barbier viré de l'Express. Il leur sera difficile de trouver un type plus conforme.

    Comme les prisons françaises, les pénitenciers européens sont des pépinières pour djihadistes. C'est l'Europe, Bwané !

    Chez Cazeneuve tout est petit. Même les sauvageons.

    Après les terrains de foot, les salles de shoot.

    Les jésuites s'apprêtent à choisir leur Pape. Noir.

    Quand Sandan se sentira bien, Poutine est disposé à le rencontrer. Un humoriste, ce russe.

    Finalement Omar ne m'aurait peut-être pas tuer. Regrets éternels.

    Un machoministre aurait délogé son assistante, en trois points de cuillère à pot, à poil et pieds nus dans la neige (*). Encore heureux qu'il n'ait pas eu un gaye sous la main, la malheureuse aurait subi le sort de Brunehaut.

    Insémination post-mortem. Maman, où il est papa ?

    (*) La "neige" n'est nullement confirmée. Mais elle complète si bien le tableau. Elle manquerait à une histoire, à une légende en devenir.

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  15. Trump accusé d'attouchements par plusieurs femmes. A la fois ? Mais combien possède-t-il de mains ?

    Poutine fustige la France mais refuse l'escalade. Il a peur.

    Juppé : " Je préfère perdre en disant la vérité ". Un bel homme ! Ponce Pilate serait bluffé.

    Hollande voulait liquider le PS. Il fallait le dire plus tôt. On aurait aidé.

    Le bouquin de Buisson. Déjà remisé au fond de l'armoire en raison d'une actualité prolifique. Notre abbé l'a lu pour nous et nous le résume en une page. C'est assez.
    Des histoires sur Sarko. On connait le bonhomme par cœur. Ses prestations publiques innombrables nous ont convaincus il y a belle lurette. Que nous importe les conneries désobligeantes qu'il balançait devant sa cour privée.
    De fait l'abbé s'attache plus à l'auteur, désigné comme national et chrétien et qui aurait par surcroît " des accents profondément gaulliens ".
    On peut aussi voir un petit rapporteur – un fouille-merde pour la version hard – qui se serait déshonoré pour le compte en trahissant celui qui l'avait choyé.
    Buisson est-il présentement à la recherche d'un emploi ? Celui qui l'embaucherait ne manquerait pas d'humour.

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  16. Dylan Nobel. Noah avait fait savoir qu'il n'était pas intéressé.

    Obamama a hystérisé ses copines avec un discours sur le mal blanc.

    Langue de buis

    Dans un monde qui change, retrouver le sens du politique.
    S'inscrire en faux contre la sinistrose ambiante.
    Dialogue sans hystérie ni raideur.
    L'attitude et l'image de quelques-uns jettent le discrédit sur les autres.
    La parole a trop souvent été pervertie, utilisé, disqualifiée.
    Privilégier "l'intelligence et la raison".
    L'aversion pour les politiciens est injuste et suicidaire.
    La vérité, seul moyen d'échapper à la démagogie.
    Ne pas prendre les électeurs pour des imbéciles.
    "La question du sens" a déserté le débat politique.
    L'affrontement prend le pas sur le dialogue.
    Les valeurs républicaines, brandies de manière incantatoire, sonnent creux.
    Plus que d'armure c'est de charpente que nos contemporains ont besoin.

    Langue de teck

    Retrouver des raisons de vivre ensemble.
    Le contrat social a besoin d'être renoué. Car il ne va plus de soi.
    Les personnes d'origine étrangère n'arrivent pas à trouver leur place.
    Il convient de se demander pourquoi l'intégration n'a pu s'opérer.
    La laïcité, lieu de tension qui tient à la réaffirmation de l'islam.
    Ne pas aborder de manière guerrière la problématique identitaire.
    Ne pas chercher des boucs émissaires dans des "facteurs extérieurs".
    Espérer vaincre Daech militairement.
    Dérive des jeunes qui sont nés chez nous et y ont été éduqués.
    Difficile de définir ce que c'est que d'être citoyen français.
    Un cadre juridique permettant à tous de vivre ensemble.
    Les électeurs FN – nombreux chez les cathos (!). Déception et peur.

    Langue d'espoir

    Le christianisme bimillénaire accueille et intègre sans nier d'autres appartenances.
    Il coexiste avec une grande diversité d'attitudes spirituelles.
    Nous sommes des inconditionnels de l'espérance.

    Langue populaire

    Nous fûmes chrétiens et gaulois. Nous sommes catholiques et français.
    Comme chrétiens on veut bien crever. Comme français on s'y refuse.

    Comme chrétiens nous sommes de passage, en attente d'un ailleurs. Nous pouvons disparaître. Il y aura des chrétiens qui viendront après nous. S'il nous est permis d'avoir une ultime sollicitation nous exprimons notre préférence pour la kalash et l'explosif plutôt que l'écrasement par camion et l'égorgement halal.

    Comme français nous défendons une entité fragile qui ne vit que par nous. Une entité composite : population, nation, histoire, terre, paysage, langue, art. Une aventure unique à dimension universelle dont l'existence dépend de notre courage et notre détermination. Sursum corda !

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  17. @ParolPontifiante29 octobre 2016 à 08:17

    Un désordre est toujours à l'origine le désordre de quelqu'un.

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  18. @ParolPontifiante29 octobre 2016 à 15:48

    Le chrétien qui consomme, en connaissance de cause, de la nourriture halal commet un péché. Lequel, à la longue, peut devenir mortel.

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  19. @ParolPontifiante30 octobre 2016 à 07:00

    Le christianisme. La force tranquille.

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  20. @ParolPontifiante31 octobre 2016 à 08:13

    L'orgueil est une pathologie qui n'est pas prise en compte par la Sécurité Sociale. Alors les gens ne se soignent pas.

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  21. @ParolPontifiante1 novembre 2016 à 07:53

    Entre le corrézien Hollande et celui qui en 2022 viendra carrément d'ailleurs, Valls pourrait être une voie médiane.

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  22. @ParolPontifiante2 novembre 2016 à 07:41

    La voie référendaire est la dernière sortie d'autoroute avant le grand carambolage.

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  23. @ParolPontifiante3 novembre 2016 à 09:57

    Qui sommes-nous pour nous immiscer dans les relations entre François et le CFCM ?

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  24. @ParolPontifiante7 novembre 2016 à 08:23

    On ne peut pas attendre 2045 pour casser les décisions de 1945.

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  25. @ParolPontifiante7 novembre 2016 à 08:31

    Macron perd un aïeul. Dieu merci, il lui reste sa maman.

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  26. @ParolPontifiante11 novembre 2016 à 10:23

    Ils écrivent, ils parlent, ils disent tous la même chose. Ils sont interchangeables. L’un deux, hier, s’est exprimé en une formule indépassable : « Il y avait la droite et la gauche, maintenant il y a le peuple et l’élite ».
    Il voulait saluer élégamment, après la brexitude, l’intolérable trumperie du jour et dire son effroi d’une marinade à venir. Sans oublier la présidence de l’Autriche, les hauts murs hongrois, les renvois danois et les réticences polonaises en matière de mœurs.
    Quel pourra crier l’épaisseur démesurée de l’ignominie de cette réflexion et la bêtise insondable de son auteur, digne représentant de sa caste ?
    Le peuple et l’élite. Oui, mais c’est bien sûr ! Les ignorants et les sachants. Les pauvres et les puissants. Les manants et les seigneurs. Les sujets et les maîtres. Les démunis et les opulents. Les électeurs et les élus. Les assujettis et les dirigeants. Les créatures et les dieux.

    L’Histoire va-t-elle continuer ?

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  27. @ParolPontifiante13 novembre 2016 à 07:19

    Pourquoi les patries sont-elles défendues par les gueux ? (Péguy). Parce que c’est leur seul bien.

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  28. @ParolPontifiante13 novembre 2016 à 07:37

    On peut tout dire sur Trump sauf qu’il soit vulgaire. Sarko, Copé, Lemaire sont vulgaires par nature. Juppé et son orgueil botté est vulgaire. Poisson l’est par ses reniements. NKM, vulgaire comme une bobotte. Hollande est socialiste.
    Trump est franc et multiple, romantique et primesautier, abrupte et drôle, charmant et charmeur. Il fait rire les enfants ce qui est la chose la plus difficile. Mais il n’est pas vulgaire.
    Pourvu que cela dure.

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  29. @ParolPontifiante15 novembre 2016 à 08:09

    La faillite des élites. Non, fausse vérité, expression inadéquate, mauvaise formule.
    Les élites : ceux qui faillent, ceux qui faillissent.

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  30. @ParolPontifiante17 novembre 2016 à 08:44


    Le boycott de la viande sacrificielle est à la portée de toutes les saintes fourchettes.

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